Letra da Música Exercice de style de Fabe

(Lauréa)
Round 1, Lauréa, l'Obiwan des sista'.
Des mots à tort et à travers la lady rappe le bac à Lauréa.
Ça verbe dans mes mots, l'or est à portée d'doigts.
La sœur à la peau dorée, à la rime fluide.
Quand j'rappe, ils sont morts les gars,
Si on sort et atomise comme Capone et Noriega, jusqu'à Montréal.
J'dors et après, j'me dissipe comme l'aurore boréale.
C'est fort et à la fin du complet,
J'forme des disciples au corps et à l'esprit remplis d'aura;
Que peut-être t'auras.
Si tu t'occupes de ton sort et attrapes ta chance.
Pas finir caissière à Ikéa,
Ça change le nord est à la charge.
J'prends mon ticket à bord
Et à la 1ère classe Fabe et Lauréat d'abord.
Je me place, les sœurs collaborent et à partir de maintenant:
" Le mic aux filles ou c'est la guérilla... ".
La princesse Léa du Bario contre Vador
Et à la fin, j'gagne ma pléiade,
J'raye à coups de flingue verbal
Comme les renois et la C.I.A.
J'ai l'cromi, ça bouge comme IAM et le Mia.
Tu perds le nord et avec ce style,
On a tout défouraillé, tous vont brailler.
Jette ton style gore et arrête de bailler.
On a tout quadrillé, c'est l'barillet du Bario, pas d'l'opéra.
Me pique pas mes ses-phra, j'suis hip-hop, pera...
(Céar)
Voici les hooker, " vas-y ". Concert plein comme Joe Cocker,
Pas d'zoukers ! Quand t'as d'la coke
Moi j'ai des lyrics dans mon cooker.
Plus de style que d'clockers, le sniper d'la rime,
Plus qu'il n'y a d'godgoes à footlocker.
J'arrive et j'tape du rocker. Comme massawalka,
J'suis l'chuwbacca.
Ni l'clown, ni l'clone, le moqueur, l'icône, le moteur.
Libre comme Lincoln l'auteur.
Libre comme s'étend ma hauteur.
Ton leust un sit-com.
J'te cite comme exemple car dans l'site
Comme j'y vois y a qu'toi p'tit comme carotteur.
Fais des textes par auteur. Joue les maraudeurs.
Le truc, qu'on reconnaît à l'odeur.
Larron, joue pas les rôdeurs. File ton décodeur vite !
Paie ton amende si t'es fraudeur.
J'te taxe au concours du lighter.
Issis à kickfighter.
Chez les gros aux haltères les superwelter.
Escroqueur, plein d'rates avant, ex-croqueur.
Boxeur, quand j'rappe, j'tape reufs et boxe sœurs.
J'me moque sueur au front, tueur au front,
Lueur au fond d'tes yeux, au faux offrons des pieux.
Oh pueur ! Dans l'puits au fond.
Et puis au fond
On fait des tas de dossiers d'plus à fournir au procureur.
Fais courir les frimeurs.
Enfume les rimeurs, plus une rumeur,
Te raconte mets les rappeurs d'mauvaise humeur.
Ceux qu'ont pas d'humour, qui pleurent, nous parlent d'amour,
Sur scène ça meurt des trucs mous à attraper une tumeur.
Tout l'monde mate et même les primates.
Les instituteurs sont témoins constatent qu'on a tout fumé avec stupeur !
(Fabe)
Pendant qu'tu dansais, les rimes qu'on lançait,
J'te dis c'qu'on en sait.
Récit condensé, compensé si c'est réussi c'qu'on en fait.
Ecrit commencé, j'décris comment c'est,
Tu sais comment c'est,
Qu'en penser, quand t'lancer.
Dispensé, de rimes nazes.
Fils, t'en sais plus qu'assez.
Direct les faux MC sont distancés.
On passe en première,
Y a moins de monde et on n'peut plus s'tasser.
En plus, tu sais, maintenant qu'on est là,
On n'veut plus s'casser.
Ni s'cacher, mic branché, feuilles tachées,
Style fâché, haché... sachez que la dope qu'on vend,
On la fournit pas en p'tits sachets !
T'en trouves partout,
Depuis la Fnac jusqu'à Euromarché.
La vie est un arc, mon rap une flèche et moi un archer.
Ce son va marcher,
A moins qu'les gens soient sourds et à cravacher.
Et franchement, on n'va pas les lâcher !
S'ils sont alléchés faut qu'ils sachent
Qu'on n'est pas du genre à lâcher.
Qu'on n'est pas du genre à prêcher l'faux,
Ni sécher l'flot, plancher s'il faut.
Sachez qu'y a pas moyen d'faire flancher show.
Enclenché y faut s'pencher sur les idées il faut bûcher.
Il faut déclencher pire qu'une avalanche et
Il faut balancer l'info, dénoncer les faux.
J'rêve de faire la misère aux faux frères
Mais j'ai rien à voir avec la Gestapo !
T'y laisses ta peau !
Même style, même topo, pour la promo demande à Texaco.
Il faut qu'ça saute, MC la bombe est amorcée.
J'suis désolé, c'est une démo j'peux pas t'la laisser...